Je me suis toujours sentie dilettante :
10 ans de photos, 30 ans de collage, d’aquarelle et d’acrylique. Tout au long du chemin, des études d’art à Paris 8, des rencontres, des artistes qui ont enrichi mon parcours, et parfois fait bifurquer ma route.
Petit à petit, les poupées qui étaient jusqu’alors ma récréation, ont tout supplanté, même si je rêve parfois que je peins.
Cachées dans mes poupées, il y a encore des poupées, peut-être la vôtre, celle de votre enfance.
Katherine Geller
Technique :
Pas de papier mâché, mais des bandelettes de papier journal encollées en dizaines de couches successives, qui me permettent d’obtenir un effet plus lisse.
A l’intérieur, des supports minimalistes : cylindre de carton pour les corps, simple fil métallique pour les membres. Mes poupées sont solides, même si elles n’aiment pas les chutes. Heureusement, elles sont plus faciles à réparer que si elles étaient dans d’autres matières.